C’était mieux avant syndrome du rétroviseur

C’était mieux avant syndrome du rétroviseur

C’était mieux avant syndrome du rétroviseur

Mais avant… c’était quand ? Et avant… c’était vraiment comment ?

Avant, c’est un roman réécrit avec seuls les bons moments, où seuls les bons souvenirs sont inscrits en lettres d’or. Le monde visualisé d’avant est bien plus idéalisé que réel. A partir de là, la comparaison avec aujourd’hui est également biaisée car on compare une réalité avec un passé reconstitué. Subissant son présent la personne qui vit dans une nostalgie est déresponsabilisée puisque ne pouvant agir. Maintenant, ce sont les choix qui vont décider de demain.

Mais pourquoi a-t-on besoin à ce point d’arrêter le temps, ou plutôt de faire machine arrière sur le projecteur video du film de notre vie ? Pour une raison simple bien qu’inconsciente, la peur de mourir. Plus la vision du passé est positive, plus le temps s’arrête ou recule, nous empêchant de nous concentrer sur aujourd’hui et encore moins sur demain.

La nostalgie déforme le passé, nous le voyons avec le prisme de ce qui était « bien » et non de ce qui était « mal ». En réalité cette forme de nostalgie s’identifie à une forme de pessimisme, de refus de voir le monde d’aujourd’hui, voire de demain comme mieux que celui d’hier.

Ce phénomène quasiment vieux comme le monde s’intensifie pour une raison simple, parce que nous vivons dans un monde dont le temps, les techniques numériques accélèrent le processus. On voit à la vitesse de l’éclair (via internet, les réseaux sociaux…) des défis inquiétants : menaces terroristes, climatiques. Ainsi regarder dans le rétroviseur, vers le passé, c’est se référer à quelque chose de maîtrisé.

Une fois le problème posé, comment faire pour en sortir ?

S’interroger : comme ai-je envie de considérer le monde qui m’entoure ? Est-ce que mes meilleures années sont celles du passé ou celles que j’ai à construire donc à sublimer ?

Bien vivre au présent : en identifiant mes besoins et en les maîtrisant. Il va de soi que si l’action réalisée sur moi est positive, il ne tient plus qu’à l’appliquer à la « masse ». Même dans un monde incertain, une atmosphère délétère, rapide, où la mondialisation est la règle, si je parviens à maîtriser ma vie, je reprends tout en main et ainsi, je peux prétendre à des lendemains ensoleillés.

Se projeter dans un futur positif : soit en rêves, soit en désirs, soit au moyen d’une consultation de voyance. Car finalement, n’est-ce pas le but d’une consultation de voyance que de construire l’avenir dans les meilleurs conditions possibles.

A très bientôt.

avec Catherine d’Auxi Voyante, Médium et Cartomancienne, auteur de l’article.

IMPORTANT
Voyance et ésotérisme limite d’âge Article 13 des CGV. Cliquez sur le lien.
Je réponds aux questions relatives à la santé. Article 10 des CGV. Cliquez sur le lien pour connaître les limites des prédictions.

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