Voyance et science

Les précurseurs

Des universitaires, comme ceux de l’Institut métapsychique international, se démènent pour que la science se préoccupe des phénomènes paranormaux. Camille Flammarion, l’astronome, s’est intéressé de très près au spiritisme ou encore John Hagelin, aujourd’hui décédé, pour qui les découvertes en physique quantique légitiment ce type de recherches.

La synchronicité

Le psychiatre Carl Jung a fait de l’ésotérisme un de ses sujets d’études majeurs. Selon lui, la voyance était un moyen de produire des synchronicités, concept par lequel un individu donne du sens à deux événements qui se produisent simultanément sans que l’un soit la cause de l’autre. Par exemple, on pense à une personne qui nous téléphone au même moment. D’autres scientifiques verront du même œil ces synchronicités et les rêves prémonitoires arguant du fait que certains rêves ne se réalisent pas, et qu’on pense souvent à des personnes absentes qui ne se manifestent pas.

Les détracteurs

D’autres scientifiques considèrent qu’il est très probable statistiquement de faire des expériences étranges tout au long d’une vie, les coïncidences étant fréquentes. D’autres encore réputent que les révélations agissent comme des suggestions mentales. Enfin, les derniers considéreront que le consultant donne lui-même les clés des réponses fournies.

Le point de vue de Catherine d’Auxi – Voyante

Esotériquement, ces phénomènes de synchronicité provoqués par des pensées, des rêves ou une consultation de voyance ont une origine simple qui trouve sa source non sur Terre mais dans l’Astral. En effet, une pensée est par essence immatérielle, de même qu’un rêve donc ne sont pas du domaine terrestre mais astral. Une Consultation de Voyance, s’adressant à ce monde immatériel qu’est l’Astral aura le même impact, le même effet de bouger, émulsionner, mouvoir les Energies et de précipiter la survenance des événements sur terre. Dire ensuite qu’un praticien de la Voyance va donner des « suggestions mentales » est dénier gravement la notion d’intelligence et de libre-arbitre du consultant. C’est le réduire à une qualité de « jouet » entre les mains d’un voyant manipulateur et c’est gravement irrespectueux. Cela revient à dire qu’orienter un consultant vers un secteur d’activité reviendrait à lui suggérer de n’utiliser que celui-là. C’est à proprement parler une ineptie.

Enfin, considérer qu’un consultant donne les clés des réponses est de la mauvaise foi. En effet, ce n’est pas parce qu’un consultant me dit qu’il est marié et me pose des questions sur l’avenir de son couple que je vais calquer sur ses propos les réponses apportées. C’est idiot, tout simplement.

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